Le comble de la blonditude
C'est déjà d'aller s'acheter une salade piémontaise au Monop pour le déjeuner, alors qu'on n'aime pas trop ça, la salade piémontaise. Mais ensuite, de passer une dizaine de minutes à retirer les oeufs durs (parce que c'est dégueu) et les patates (parce que j'ai pas envie aujourd'hui) de ladite salade. Là, c'est le top du top du comble.
Vous pouvez m'expliquer pourquoi je n'ai pas été m'acheter du jambon, de la tomate, des cornichons et de la mayo, tout simplement? Ou un sandwich jambon-crudités? Ca m'aurait coûté moins cher, déjà, et j'aurais mieux aimé.
J'ai un peu la nausée, maintenant. Ca craint.
Je suis une bouffonne. En chef.
Bref. En teaser, pour la prochaine fois, je vous parlerai peut-être de la sublime maison que j'ai trouvé. Et qui me fera manger des pâtes à l'eau pour les 20 ans à venir. Mais peut-être aussi que je vous parlerai de ma passion pour Nagui & Manu le matin sur Europe 2 (sont super balaises en infos inutiles, ces deux-là). Ou bien des nouvelles règlementations en matière de fosses septiques et d'assainissements non collectifs. Ca va être bien, je vous promet.
Info inutile du jour : Les castors ont des narines obturables. Comme les hippopotames. C'est rudement pratique, ça.
Musique en cours : Tété - Fils de Sham